Boudin de porc noir gascon- elevage plein air dans le bearn - agriculteur transformateur - Aglaé à Gaillac / Lisle sur tarn

Un boudin en verrine longue conservation, ça c’est une bonne idée ! 

• A tartiner en apéritif

• A déguster comme une viande avec un accompagnement 

• ou encore à cuisiner par exemple en tarte fine

La sélection des produits Aglaé :

Nous sélectionnons rigoureusement les produits auprès de nos agriculteurs partenaires. Passionnés et exigeants, ils sont engagés dans des modes d’agriculture réfléchis et respectueux des cycles naturels, des terres et/ou des conditions d’élevage. Découvrez leurs histoires et leurs démarches dans le livret accompagnant votre panier.

Nous portons également très attention aux ingrédients et étapes de transformation pour vous assurer une composition saine et des produits de grande qualité. Enfin, nous mettons un point d’honneur à goûter tous les produits et à nous assurer de vous régaler !

Qui se cachent derrière?

L’histoire de l’installation de Marie est étroitement liée à son histoire d’amour avec son mari Nicolas. Quand elle quitte son travail d’employée agricole, le contact avec les porcs gascons lui manque beaucoup. A ce moment elle rencontre Nicolas, ébéniste, grand gourmand et fin cuisinier. Il lui demande de l’aide pour élever 2 à 3 cochons pour sa consommation personnelle. C’est ainsi, de fil en aiguille, que leur projet d’élevage se monte. En 2020, Marie et Nicolas s’installent en relançant une vieille ferme qui n’avait pas de repreneur.
Marie-France s’occupe des animaux : les naissances, l’élevage et les soins (allopathiques, naturopathe et ostéopathe).  Nicolas, lui, élabore les recettes et aménage le confort quotidien des porcs (cabanes, auges, parc…).

Aujourd’hui, l’exploitation compte 84 porcs noirs gascon élevés sur plus de 6ha, 100% en plein air en montagne, sur des pentes de fougères, ronces, châtaigniers, chênes et prairies. Les cochons sont engraissés sur une période de 12 à 18 mois, c’est en moyenne 2 à 3 fois plus long qu’en élevage conventionnel.

Le couple travaille à la clôture de 2 nouveaux parcs afin de pratiquer le pâturage tournant. Cela permet de favoriser une alimentation variée, respecter le stade de développement des plantes dans les parcelles et permettre une repousse naturelle la plus rapide et la plus abondante possible. Quelques chèvres sont aussi élevées à la ferme pour permettre d’ouvrir et d’entretenir des espaces trop difficiles d’accès pour les cochons.

Le mot de Marie France :

« Être paysan, ce n’est pas nourrir ces animaux, les avoir dehors et se dire que c’est du bien-être animal. Être paysan, c’est avoir du contact au quotidien avec ses animaux. Ils doivent reconnaître l’éleveur par le toucher et par l’ouïe et non seulement par la vue ! Le cochon est un animal très intelligent, vraiment surprenant à élever avec beaucoup de gaieté et de fous rires au quotidien. »